Les tribunaux français ont prononcé des peines de prison comprises entre 10 et 13 ans à l’encontre de trois femmes revenues de zones contrôlées par des groupes djihadistes en Syrie. Ces condamnations s’appuient sur des faits avérés liés à leur participation active au sein de ces milieux extrémistes, notamment à travers la complicité d’actes terroristes et la mise en danger de la sécurité nationale. La justice souligne la gravité de leurs actes ainsi que leur responsabilité dans la radicalisation et le soutien aux réseaux terroristes.

Durant le procès, plusieurs éléments ont été mis en lumière :

  • Leur engagement dans des structures souvent associées à Daech
  • Les risques encourus par leur retour, notamment en termes d’intégrité et de surveillance
  • Les efforts de réinsertion pénale envisagés par les autorités

Un tableau récapitulatif des peines prononcées :

Accusée Durée de la peine Motifs principaux
Femme A 13 ans Complicité active et recrutement
Femme B 11 ans Financement et soutien logistique
Femme C 10 ans Participation aux activités terroristes