Dans une décision qui a profondément choqué l’opinion publique, la cour d’appel de Montpellier a ordonné la remise en liberté d’une ATSEM mise en examen pour des accusations graves de viols sur mineurs. Malgré la nature préoccupante des charges, les juges ont considéré que les éléments présentés ne justifiaient pas une détention provisoire prolongée, invoquant le principe de la présomption d’innocence et le respect des droits fondamentaux. Cette libération a suscité de nombreuses réactions de stupéfaction et d’incompréhension, notamment parmi les familles des victimes présumées et les associations de protection de l’enfance.

  • Date de la décision : 18 avril 2024
  • Motifs invoqués : absence de preuve directe et risque limité de fuite
  • Réactions : indignation générale et appels au renforcement des procédures pénales
Partie Position Déclaration officielle
Cour d’appel Libération « Respect des droits de la défense »
Procureur Opposé « Continuons les investigations »
Familles Indignées « Incompréhension totale »