La fermeture soudaine de la mezzanine de la gare de Nantes a eu un impact immédiat et significatif sur les usagers quotidiens. Beaucoup ont témoigné de leur frustration face aux désagréments engendrés, tels que l’allongement des temps de parcours et la congestion des accès. Les zones de transit habituelles ont été perturbées, obligeant les passagers à emprunter des itinéraires détournés, souvent moins sécurisés et plus encombrés. Ces changements ont accentué le stress des utilisateurs, en particulier aux heures de pointe, compromettant leur confort et leur sécurité lors des déplacements.

  • Ralentissement global des flux de passagers
  • Augmentation des risques de bousculades et incidents
  • Réduction de l’accessibilité pour les personnes à mobilité réduite
  • Frustration et mécontentement croissants parmi les usagers

Du côté du trafic ferroviaire, les perturbations liées à l’accès à la gare ont eu des répercussions sur la ponctualité des trains. Les flux humains ont, à plusieurs reprises, ralenti les opérations de montée et descente des voyageurs, ce qui a provoqué des retards cumulés sur plusieurs lignes. Une coordination renforcée entre les équipes de la SNCF et les services municipaux s’est avérée nécessaire pour gérer la situation tout en minimisant l’impact. Voici un aperçu des retards moyens constatés sur les principales lignes durant la période de fermeture :

Ligne Retard moyen (minutes) Fréquence des retards
Nantes – Angers 8 Élevée
Nantes – Rennes 6 Modérée
Nantes – La Roche-sur-Yon 10 Élevée