Lutter efficacement contre ce fléau exige aujourd’hui plus que jamais briser les barrières sectorielles traditionnelles. Pour cela il est essentiel : p >

  • d’uniformiser méthodes & protocoles afin que chaque acteur parle un langage commun ; li >
  • d’instaurer comités mixtes permanents favorisant échanges réguliers ; li >
  • d’investir dans formations conjointes renforçant compétences pluridisciplinaires ; li >
  • d’intensifier campagnes pédagogiques auprès médecins,vétérinaires agriculteurs pour ancrer culture commune prévention ; li >
  • d’accélérer développement outils digitaux intégrateurs permettant monitoring temps réel ; li >
  • d’encourager projets scientifiques interdisciplinaires explorant nouvelles pistes thérapeutiques ou préventives . »
    / ul > Santé humaine/td/>Amélioration prescriptions antibiotiques/tdd/>Réduction infections nosocomiales multirésistantes/tdd/> tr/> Santé animale/td/>Renforcement contrôle usage antibiotique élevages/tdd/>Limitation propagation résistance zoonotique vers humains/tdd/> tr/> Environnement/td/>Surveillance accrue milieux aquatiques/agricoles contaminés/tdd/>Détection précoce foyers contamination évitant dissémination large/tdd/> tr/>

    /table/>

    Bilan final : Une avancée stratégique majeure face à un défi mondial urgent

    L’adoption par la France du concept « One Health » constitue aujourd’hui un levier indispensable face à l’urgence sanitaire posée par l’antibiorésistance. En conjuguant étroitement santé humaine, animale et protection environnementale sous une même bannière opérationnelle pilotée par Santé publique France , ce modèle innovant ouvre vers une maîtrise plus fine du phénomène complexe qu’est la résistance microbienne. p >

    Avec cette stratégie ambitieuse mais nécessaire , notre pays affirme son rôle moteur sur le plan international tout en offrant aux citoyens français – présents comme futurs –une meilleure garantie quant à préserver durablement efficacité vitale des antibiotiques , piliers incontournables contre infections graves . Face au défi global qui s’amplifie chaque année – rappelons qu’en Europe près de 33 000 décès annuels sont attribuables directement aux infections multirésilientes selon ECDC (2023) –, cette démarche collaborative représente donc bien plus qu’une simple évolution technique : c’est un engagement fort envers notre santé collective . »
    /p>