Dans une récente interview accordée au magazine Le Point, le président argentin, fraîchement élu en 2023, a discuté des réformes qu’il a mises en œuvre pour relancer l’économie de son pays. Parmi ses priorités figure l’ajustement des dépenses publiques.
S’affichant comme un anarcho-capitaliste lors de sa campagne électorale, Javier Milei reste fidèle à ses convictions. Toutefois, c’est avec la conviction d’un président ayant redressé son pays après des années d’instabilité économique que Milei a partagé ses conseils avec Emmanuel Macron sur la sortie de la crise budgétaire actuelle.
Élu le 20 novembre 2023 dans un pays qui lutte contre une crise économique persistante depuis plus de deux décennies et confronté à une inflation démentielle dépassant les 211 %, ainsi qu’à un déficit fiscal majeur, cet économiste provocateur est parvenu à inverser la tendance. Grâce à un programme économique jugé parfois comme le plus sévère du siècle par certains analystes, l’inflation mensuelle est tombée à 3 % et les taux de pauvreté sont en diminution. Une des mesures phares demeure le strict ajustement des dépenses publiques.
« La pensée française sur l’augmentation fiscale sans réduction des dépenses m’interroge »
Interrogé sur les propositions d’augmentation d’impôts présentes dans divers projets budgétaires français, Javier Milei s’interroge sérieusement.
« Ce qui me trouble, c’est que la France envisage d’augmenter ses impôts tout en négligeant une réduction significative de ses dépenses publiques. Pourquoi ? Parce que cela profite largement à ceux qui dépendent d’un État dont les décisions vont souvent à l’encontre du bien-être général », souligne-t-il avec force tandis que sa popularité commence progressivement à croître après un départ difficile.
Poursuivant sa réflexion : « Il y a ceux qui travaillent dur pour leur propre subsistance et ceux qui prospèrent grâce aux efforts financiers des autres. D’un côté se trouvent ceux qui s’acquittent de leurs impôts et de l’autre ceux qui exploitent ces mêmes impôts pour leurs propres bénéfices. Tant que ceux au pouvoir tirent profit du système actuel, il n’y aura aucune incitation réelle au changement », précise-t-il vivement.
Puis il fustige ce qu’il désigne comme étant la « caste politique », exprime son mécontentement face aux comportements corruptibles : « Nous avons fait le choix clair d’ajuster nos dépenses publiques plutôt que nos impôts. D’ailleurs, nous avons particulièrement ciblé les financements destinés aux activités corruptibles liées à ce que j’appelle maintenant le ‘parti étatique’. »
Milei définit alors cette caste : « Cela inclut les politiciens malhonnêtes ; les entrepreneurs bénéficiant uniquement d’aides gouvernementales ; certains syndicalistes exploitants; ainsi que certains médias peu scrupuleux et employés évoluant autour dispenseront toujours selon leur agenda personnel plutôt qu’à celui du bien commun », martèle Javier Milei avec conviction.
Un modèle exhaustif adaptable… même chez nos voisins français ?
D’après Javier Milei, ce qu’il réalise en Argentine pourrait représenter « l’une des stratégies économiques les plus rigoureuses jamais appliquées », parvenant ainsi non seulement remettre son pays vers une trajectoire saine mais également exempte dix millions de personnes vivant sous le seuil absolu de pauvreté sans entraîner davantage chômage.
Avec scepticisme initial émis par plusieurs économistes quant aux conséquences potentielles lors du lancement du plan avant son investiture puis ensuite au moment où il prenait réellement fonction ; confiant dans sa vision contraire répète-t-il : « Nous ne sommes pas allés vers la catastrophe annoncée ! Si nous avons réussi ici en Argentine . . . , alors pourquoi pas ailleurs ? Les nations possédant déjà davantage stabilité devraient parvenir elles aussi. »
« Complexité administrative sous contraintes européennes »
Tandis que ces jours-ci ou la France vient tout juste récemment finaliser son budget national prévisionnel quel serait donc selon lui les recommandations destinées pour Emmanuel Macron accompagnées.validator François Bayrou ? « Je partage affiche bonne relation personnelle envers Emmanuel Ito détient convoite forcément me prononcer publiquement concernant affaires quadrants français ». Avec confiance expose lui mêlant complexité actuelle cause accentuée par pression traditionnelles versions imposées via Union européenne. »
< p > En conclusion reconnait vraiment chose simple essentiel découle différence perspectives entre tous deux:自身只交流政治和传统经济模型 – 阻碍了彼此之间告报的相互理解，并逐渐指向经济决策可能重立更好秩序。
